Quelques statistiques
En suisse, on estime les faillites ou cessations d’activités des start-ups dans leur deux premières années à 82%. C’est énorme.
Le chiffre est difficile à estimer car toutes les entreprises ne sont pas inscrites au registre du commerce ou déclarées avant de cesser d’exister.
Nous savons aussi que lorsqu’une start-up participe à un incubateur, le porteur de projet multiplie par 2 ses chances de succès.
Un incubateur est donc un accélérateur d’expérience.
Chaque fondateur est partagé entre « prendre le risque » et « se perdre dans l’inconnu ». Tous vous diront qu’ils ne se doutaient pas que ce serait si difficile. Tous avouent que s’ils l’avaient su, ils l’auraient fait quand même.
Notre objectif, c’est d’offrir à des start-ups une expérience unique de s’installer durablement sur le marché, de l’idée à la réalisation, ponctuée par une première levée de fonds.
Les autres incubateurs
Il y a 3 types d’incubateurs :
- Les incubateurs publics, dont le but est de générer une émulation économique qui va à terme générer des emplois et de la richesse.
- Les incubateurs privés dont le but est d’augmenter la qualité de son image de marque et de repérer des projets innovants pour y investir et de ce fait mieux contrôler la concurrence et le marché.
- Les incubateurs des grandes écoles souvent adressés aux anciens étudiants pour les aider à s’ancrer dans le marché du travail.